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ville de vanves - Page 101

  • UN SCHEMA DIRECTEUR DE VEGETALISATION DU "CENTRAL PARK" DE VANVES POUR LES ANNEES A VENIR

    Le point fort de la dernière réunion publique de quartier du centre-Ancien/Saint Remy Mercredi dernier, maintenue malgré le contexte actuel,  concernait la politique de réaménagement du parc Frédéric Pic, avec la collecte des ordures ménagères et notamment  une présentation d’une campagne de communication sur le tri  des déchets alimentaires qui a commencé dans certains quartiers.

    «C’est un peu notre central park. On tient beaucoup à notre poumon vert. C’est pourquoi, on tient à embellir ce site» a expliqué le maire adjoint chargé de l’environnement qui n’a pas caché, avec Bertrand Bay représentant GPSO, ce dernier montrant qu’il est passionné par sa mission, que c’est compliqué dans la mesure où ce site est classé, et oblige à respecter certaines régles et procédures. Ainsi chaque projet doit être soumis à une commission des sites (départementale), et les travaux, faire l’objet d’un arrêté interministériel (culture et transition écologique), ce qui rallonge lesdélais. C’est pourquoi la ville et GPSO ont décidé d’arrêter un schéma directeur, notamment de végétalisation pour œuvrer dans les années à venir.

    « Le parc F.Pic est un ensemble végétal hétérogéne qui s’étend sur 5,3 Ha, avec  600 arbres de 15 à 100 ans d’âge, des allées ombragées, de grandes pelouses, une pièce d’eau, un belvédére, des glacières, des aires jeux » a expliqué le représentant de GPSO qui a présenté les objectifs poursuivis dont le principal est la mise en valeur de ces différents sites du parc, de ses perspectives historiques : « Ce qui impliquera de redesssiner les portour du parc, c’est à dire les franges,  réorganiser les aires de jeux et  les repositionner notamment celle qui est proche des Glacières, avec l’entretien des arbres en enrichissant et en diversifiant les essences -Erables et tilleuls - en enlevant les arbres malades… » a -t-il expliqué

     Il a présenté les grandes lignes d’un plan d’actions concernant tout d’abord les 4 aires de jeux  qu’il faut redéployer et regénérer notamment au dessus des glacières, et proche du groupe scolaire avec le remplacement des jeux. Ensuire les glacières qu’il faut remetttre en valeur en re-végétalisant les pourtours en créant une clairiére et en rajoutant 100 m2 de plaines. Enfin, développer la floraison, requalifier le bassin, renforcer le mobilier…

  • MALGRE L’AVIS DE VANVES ET L’OPPOSITION DE MALAKOFF, LA DEMOLITION DE LA TOUR INSEE A DEMARRE

    Comme l’ont pu constaté les vanvéens qui circulent porte de Vanves, le grignotage de la cafeteria  a démarré au pied de la tour Insee à Malakoff, la justice ayant validé la poursuite des travaux de démolition qui toucheront bientôt le tripode lui-même. Les ministères sociaux (qui regroupent les ministères du travail et de la santé) prévoient sur ce site, à l’entrée de la ville de Malakoff, la reconstruction d’un bâtiment de surface quasiment similaire au tripode actuel ( 35 000  m2) pour accueillir 1800 agents

    La ville avait déposé un référé-suspension, fin août, pour demander l’arrêt immédiat du chantier en cours. Le tribunal administratif de Cergy vient l’a rejeté en septembre dernier, en faisant valoir que le permis de démolir a été accordé et purgé de tout recours. Il n’a pas pris en compte que, dans le projet de permis de construire, l’autorité environnementale avait émis de sérieuses réserves sur l’évaluation des travaux de démolition. Le conseil de la municipalité arguait également d’une « opposition massive » de la population et des élus au projet de l’État. Les écologistes parlaient d’un « désastre écologiste ».

    Le conseil municipal de Rentrée  de Vanves,  a eu l’occasion de donner son avis sur l’étude d’impact portant sur ce projet : « Pour Vanves, les enjeux importants de ce dossier sont les déplacements et l’impact du chantier. En phase d’exploitation du site, les interrogations portent sur les effets du projet en matière de déplacements compte tenu du nombre d’agents attendus estimé à 1800, alors que l’ex-siège de l’INSEE accueillait 1 200 agents » indique la délibération de la ville en soulignant que « les développements de l’étude d’impact consacrés aux déplacements mériteraient d’être approfondis et d’intégrer tous les projets de requalification de l’espace public en réflexion dans les abords du site du projet»

    Dans son avis qui n'a pas été voté par les écologistes vanvéens,  il a  constaté que « les développements de l’étude d’impact consacrés aux déplacements mériteraient d’être approfondis et d’intégrer tous les projets de requalification de l’espace public en réflexion dans les abords du site du projet ». Il a demandé « qu’une concertation soit menée avant le démarrage des travaux sur les questions relatives à la circulation et plus précisément sur les flux des véhicules poids-lourds nécessaires à l’évacuation des déblais ainsi qu’à l’apport des matériaux ».

  • LES ECOLOGISTES PREOCCUPES PAR L'AUGMENTATION DU COUT DES SERVICES PUBLICS LOCAUX A VANVES

    A l’occasion du dernier conseil municipal, le groupe écologiste avait interrogé la municipalité sur l’augmentation des tarifs des services municipaux  (centres aérés , cantine.. ) qui «si elle paraît légitime pour les classes supérieures de revenus, pèse lourdement sur les familles moins argentées très impactées par la hausse du coût de la vie»  constatait il en  suggérant que « soit étudiée, à recette équivalente, une redéfinition de la grille tarifaire en fonction des quotients familiaux» Ainsi que l’utilisation (gratuite) des locaux municipaux par les associations.

    Le maire adjoint chargé des associations a appelé que des gratuités sont possibles tout au long de l’année dans les cas suivants pour le secteur associatif : Activités à caractère social menées prioritairement à destination d’un public vanvéen, associations vanvéennes proposant des activités menées par des intervenants bénévoles, activités menées dans le cadre d’un partenariat avec la Ville défini par une convention spécifique, réunions ayant trait à la gestion de l’association (Assemblée générale ordinaire, Assemblée générale extraordinaire, Conseil d’administration…), réunions mensuelles des partis politiques en dehors des périodes électorales… En précisant deux choses :  «La limitation à une gratuité annuelle concerne essentiellement les demandes pour des projets événementiels qui sont plus coûteux pour la Ville ». Et  que «la participation énergétique n’est pas appliquée aux associations dont la mission principale est à caractère social ainsi que les associations participant avec la Commune à l’exécution ou la gestion du service public dans les domaines de la Petite Enfance et de l’Education »  

    Concernant l’augmentation importante des différents tarifs, il a rappelé que «les tarifs des prestations du service éducation sont calculés par rapport à une grille . Cette grille tarifaire se compose de 11 tranches permettant ainsi d’appliquer des tarifs correspondant aux revenus des familles vanvéennes. Ainsi 70% des familles vanvéennes ont un quotient familial correspondant aux 5 tranches supérieures. Les 30% restant correspondent aux 6 tranches inférieures Une étude des tarifs appliqués dans les villes voisines a fait apparaitre que nos tarifs sont globalement plus bas que ceux des autres communes. Pour la partie restauration scolaire, le prix minimum est de 0,46 € et le maximum de 6,48 €. Comme vous pouvez le constater, l’écart entre les classes supérieures de revenus et le tarif le plus bas est malgré tout assez important» a-t-il souligné.

    Sur la partie socio-culturelle ESCAL, il a indiqué que «le quotient Familial (QF) s’applique pour les ateliers annuels, bafa citoyens, mini-séjours, journée européenne...Seules les animations ponctuelles et les activités pendant les vacances ne sont pas au QF, car les prix restent relativement faibles pour la plupart et faire des QF sur des prix d’un montant de 1.5€ / 2€ / 3€ jusqu’à 8€ serait plus contraignant qu’autre chose, surtout que le système des inscriptions en ligne empêcherait le règlement en ligne et obligerait les usagers de venir s’inscrire sur place».